Ingénieur Quantique
Fiche métier
L’Ingénieur Quantique conçoit, développe et optimise des systèmes exploitant les lois de la mécanique quantique pour créer des solutions de rupture dans les domaines du calcul, des capteurs, des télécommunications ou encore de la simulation physique. Travaillant à la frontière entre recherche fondamentale et innovation technologique, il ou elle collabore avec des experts en physique, informatique, électronique et mathématiques pour construire les briques de la prochaine révolution technologique. Ce métier s’exerce au sein de laboratoires de recherche, de startups deeptech, de grands groupes industriels ou encore de centres de calcul de haute performance.

Missions :
- Concevoir et développer des algorithmes ou circuits pour ordinateurs quantiques (modèles à portes logiques, à recuit quantique.)
- Participer à la mise au point de matériel quantique : qubits supraconducteurs, ions piégés, photons, spins.
- Optimiser les performances et la stabilité des systèmes quantiques (temps de cohérence, réduction du bruit, correction d’erreurs).
- Collaborer à l’intégration des systèmes quantiques dans des environnements hybrides (classique-quantique).
- Développer des programmes et simulations avec des langages ou frameworks quantiques (Qiskit, Cirq, PennyLane, Q#…).
- Réaliser des expérimentations, mesures physiques et tests sur bancs quantiques.
- Assurer une veille scientifique et technologique sur les dernières avancées du domaine.
Compétences :
- Excellentes connaissances en physique quantique, mécanique ondulatoire, théorie des qubits
- Maîtrise des langages de programmation scientifique et quantique (Python, C++, Q#, QASM…)
- Connaissances en algorithmique quantique et mathématiques appliquées (algèbre linéaire, optimisation, etc.)
- Capacité à travailler avec des outils de simulation (QuTiP, Matlab, Julia…)
- Connaissances en électronique, cryogénie ou photonique selon la spécialisation hardware
- Compréhension des architectures hybrides et des environnements cloud quantique (IBM Q, Amazon Braket, Azure Quantum…)
- Anglais technique courant pour lecture de publications et échanges internationaux
Soft skills :
- Rigueur scientifique et esprit critique
- Esprit d’équipe et capacité à collaborer en milieu pluridisciplinaire
- Curiosité intellectuelle et appétence pour l’expérimentation
Quel niveau de formation ?
Le métier d’ingénieur quantique est accessible à partir d’un niveau Bac+5, souvent via un cursus en école d’ingénieur ou à l’université, avec une spécialisation en physique fondamentale, ingénierie quantique, physique appliquée ou informatique quantique.
Un doctorat (PhD) est fortement recommandé, voire nécessaire, notamment pour les postes axés R&D ou hardware avancé. Certaines formations de pointe, comme les masters spécialisés en technologies quantiques (ENS, École Polytechnique, Sorbonne, EPFL, etc.) ou les doubles compétences en physique/informatique sont très recherchées.
Des certifications complémentaires en programmation quantique ou HPC peuvent être un atout.
Salaire :
La rémunération d’un ingénieur quantique varie selon plusieurs facteurs : le niveau d’expérience, le type d’organisation (startup, laboratoire public, entreprise technologique), le rôle (hardware, software, algorithmique), et la localisation. En début de carrière, un ingénieur quantique peut percevoir un salaire de 38-50k/an. Avec quelques années d’expérience et une expertise confirmée, notamment dans des contextes industriels, ce salaire évolue généralement entre 50-70K/an. Les profils les plus expérimentés, disposant d’un doctorat et exerçant dans des environnements technologiques avancés (finance, défense, spatial, etc.), peuvent atteindre voire dépasser les 90K/an, notamment en poste à l’international ou en consulting spécialisé.
Autres intitulés :
- Développeur quantique
- Ingénieur R&D en technologies quantiques
- Quantum Software Engineer / Hardware Engineer
Postes liés :
- Chercheur en physique quantique
Évolution professionnelle :
Un ingénieur quantique peut évoluer vers des fonctions de chef de projet R&D, architecte quantique, lead scientifique, expert technique, voire CTO dans une startup deeptech. Il peut aussi s’orienter vers la recherche académique, la valorisation industrielle ou encore la gestion de l’innovation dans des secteurs stratégiques (défense, télécoms, finance, énergie…).
Vous souhaitez recruter un Ingénieur Quantique ? Prenez contact avec un expert Kalyptus.
L’Ingénieur Quantique conçoit, développe et optimise des systèmes exploitant les lois de la mécanique quantique pour créer des solutions de rupture dans les domaines du calcul, des capteurs, des télécommunications ou encore de la simulation physique. Travaillant à la frontière entre recherche fondamentale et innovation technologique, il ou elle collabore avec des experts en physique, informatique, électronique et mathématiques pour construire les briques de la prochaine révolution technologique. Ce métier s’exerce au sein de laboratoires de recherche, de startups deeptech, de grands groupes industriels ou encore de centres de calcul de haute performance.
Missions :
- Concevoir et développer des algorithmes ou circuits pour ordinateurs quantiques (modèles à portes logiques, à recuit quantique.)
- Participer à la mise au point de matériel quantique : qubits supraconducteurs, ions piégés, photons, spins.
- Optimiser les performances et la stabilité des systèmes quantiques (temps de cohérence, réduction du bruit, correction d’erreurs).
- Collaborer à l’intégration des systèmes quantiques dans des environnements hybrides (classique-quantique).
- Développer des programmes et simulations avec des langages ou frameworks quantiques (Qiskit, Cirq, PennyLane, Q#…).
- Réaliser des expérimentations, mesures physiques et tests sur bancs quantiques.
- Assurer une veille scientifique et technologique sur les dernières avancées du domaine.
Compétences :
- Excellentes connaissances en physique quantique, mécanique ondulatoire, théorie des qubits
- Maîtrise des langages de programmation scientifique et quantique (Python, C++, Q#, QASM…)
- Connaissances en algorithmique quantique et mathématiques appliquées (algèbre linéaire, optimisation, etc.)
- Capacité à travailler avec des outils de simulation (QuTiP, Matlab, Julia…)
- Connaissances en électronique, cryogénie ou photonique selon la spécialisation hardware
- Compréhension des architectures hybrides et des environnements cloud quantique (IBM Q, Amazon Braket, Azure Quantum…)
- Anglais technique courant pour lecture de publications et échanges internationaux
Soft skills :
- Rigueur scientifique et esprit critique
- Esprit d’équipe et capacité à collaborer en milieu pluridisciplinaire
- Curiosité intellectuelle et appétence pour l’expérimentation
Quel niveau de formation ?
Le métier d’ingénieur quantique est accessible à partir d’un niveau Bac+5, souvent via un cursus en école d’ingénieur ou à l’université, avec une spécialisation en physique fondamentale, ingénierie quantique, physique appliquée ou informatique quantique.
Un doctorat (PhD) est fortement recommandé, voire nécessaire, notamment pour les postes axés R&D ou hardware avancé. Certaines formations de pointe, comme les masters spécialisés en technologies quantiques (ENS, École Polytechnique, Sorbonne, EPFL, etc.) ou les doubles compétences en physique/informatique sont très recherchées.
Des certifications complémentaires en programmation quantique ou HPC peuvent être un atout.
Salaire :
La rémunération d’un ingénieur quantique varie selon plusieurs facteurs : le niveau d’expérience, le type d’organisation (startup, laboratoire public, entreprise technologique), le rôle (hardware, software, algorithmique), et la localisation. En début de carrière, un ingénieur quantique peut percevoir un salaire de 38-50k/an. Avec quelques années d’expérience et une expertise confirmée, notamment dans des contextes industriels, ce salaire évolue généralement entre 50-70K/an. Les profils les plus expérimentés, disposant d’un doctorat et exerçant dans des environnements technologiques avancés (finance, défense, spatial, etc.), peuvent atteindre voire dépasser les 90K/an, notamment en poste à l’international ou en consulting spécialisé.
Autres intitulés :
- Développeur quantique
- Ingénieur R&D en technologies quantiques
- Quantum Software Engineer / Hardware Engineer
Postes liés :
- Chercheur en physique quantique
Évolution professionnelle :
Un ingénieur quantique peut évoluer vers des fonctions de chef de projet R&D, architecte quantique, lead scientifique, expert technique, voire CTO dans une startup deeptech. Il peut aussi s’orienter vers la recherche académique, la valorisation industrielle ou encore la gestion de l’innovation dans des secteurs stratégiques (défense, télécoms, finance, énergie…).
Vous souhaitez recruter un Ingénieur Quantique ? Prenez contact avec un expert Kalyptus.