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Portrait Candidat : Bastien G. - Engagement Manager

Propos recueillis en Décembre 2020.

Portrait Candidat : Bastien G. - Engagement Manager

Le recrutement de Bastien G. en tant qu’Engagement Manager dans le secteur du ferroviaire est représentatif du savoir-faire et de l’expertise du Cabinet Kalyptus : d’une part, accompagner un client au contexte particulier, à la recherche d’un profil pour un poste à forts enjeux et responsabilités. Et d’autre part, identifier et rencontrer le candidat qui sera en adéquation avec les attentes du client. 

Aujourd’hui, Bastien revient sur son expérience avec notre Cabinet et nous fait part de son ressenti. Comment a-t-il découvert cette opportunité ? Comment s’est passé son recrutement aux côtés de Kalyptus ? Réponses dans ce premier portrait de candidat.  

 

Pour commencer, qu’est-ce qu’un Engagement Manager chez Getlink ? 

Pour résumer, c’est être Directeur de Projets pour la Société Mère, en charge de l’informatique de sa filiale Fret privé. 

Pourquoi étiez-vous à l’écoute de nouvelles opportunités ? 

J’étais depuis 8 ans dans une entreprise parisienne, leader dans la digitalisation des points de vente, avec comme particularité d’être en télétravail afin de privilégier le contact avec les enseignes de la grande distribution basées sur la métropole lilloise. C’est une structure de presque 30 ans mais qui veille à rester constamment à la pointe de la technologie.  

Au fil des années, des phases d’agrandissement et de fidélisation de la base client installée, mon périmètre s’est étendu avec de grands projets clients en France et à l’international, ce qui a fini par me conférer une certaine expertise dans la gestion de grands comptes stratégiques pour l’entreprise. 

Après plusieurs rapports d’étonnement autour de la gestion des opérations quotidiennes, et une envie de changement, on m’a confié de nouveaux challenges autour de l’efficacité au sein de la direction des opérations. Challenges néanmoins limités de par ma situation géographique : cela représentait un certain frein à la prise en charge de tâches de management qui étaient importantes pour l’amélioration de l’efficacité. La situation sanitaire ayant provoqué un autre coup de frein – mais cette fois-ci sur le budget à allouer aux actions de fond que j’avais identifié – une certaine frustration est née et j’ai alors décidé de cocher “Open to Work” sur LinkedIn début 2020, pour signifier que j’étais à l’écoute. J’ai commencé à rapidement recevoir beaucoup d’offres et d’appels, mais aucune opportunité n’était réellement en mesure de provoquer le déclic nécessaire à ce changement.  

Un midi, j’ai eu un appel d’Audrey (ndlr :  Audrey Randon est Co-fondatrice et dirigeante du Cabinet Kalyptus) qui m’a dit “je suis passée plus de 150 fois sur votre profil LinkedIn au cours des dernières années, et je pense aujourd’hui avoir une belle opportunité pour vous”. Par habitude, lorsque je répondais aux recruteurs, mes prérequis ne convenaient pas, mais cette fois-ci, elle a éveillé ma curiosité et m’a dit “Je vous envoie l’offre et vous regardez. 

Quel était votre état d’esprit suite à l’appel d’Audrey ? 

A la suite de cet appel, j’ai consulté l’offre et je me suis aperçu qu’il y avait pas mal d’éléments qui correspondaient à des envies personnelles que j’avais : je m’étais déjà dit que le domaine du ferroviaire m’intéresserait et serait une éventualité par rapport à mon historique familial, (mon grand-père a participé à la construction du Tunnel sous la Manche)il y avait aussi mes ambitions personnelles (notamment me rapprocher un jour d’une partie de ma famille qui se trouve sur la Côte d’Opale) et il y avait aussi ce côté “métier-passion” dont j’avais toujours rêvé 

Donc très rapidement je suis revenu vers Audrey et j’ai entamé le process de tests cognitifs et PerformanSe. On a ensuite débriefé ensemble à l’occasion de deux entretiens : le premier était pour aborder mon parcours, et le second était pour approfondir mes envies, mes projets, etc. On a vraiment pris le temps de faire le pointEt puis au cours des jours qui ont suivis, je me suis progressivement projeté dans le poste. J’ai alors fait face à un dilemme parce que j’étais toujours dans une entreprise qui avait investie sur moi, et ma femme entamait une reconversion, donc c’était difficile pour moi de trancher sur l’instant 

Pourquoi cette opportunité vous a-t-elle séduite ? 

Ce qui a provoqué le déclic, c’était la rencontre avec le Chief Digital Officer (CDO) de la société ferroviaire. Je me suis aperçu qu’Audrey avait fait un énorme travail, au-delà du simple fait de me présenter un poste. En amont de cet entretien, elle m’a présenté tout le contexte de l’employeur, de la personne que j’allais rencontrer, son parcours, etc., ce qui m’a permis de me préparer pour mon entretien avec le CDO. J’ai vraiment eu un accompagnement de fond de la part de Kalyptus 

Donc lorsque j’ai fait la rencontre du CDO, j’ai beaucoup aimé notre échange parce que lui-même avait travaillé dans le même secteur d’activité que moi par le passé, on se comprenait vraiment et il avait cette envie de travailler avec un profil comme le mien. On a beaucoup discuté et j’ai réalisé, qu’en plus du rôle en adéquation avec mes envies, j’avais aussi besoin d’un manager aussi brillant et à l’écoute que lui dans l’accompagnement de mon parcours professionnel. Cette envie de collaboration humaine, en plus de l’intérêt du poste, m’a clairement fait prendre la bonne décision 

Vous avez pris vos fonctions en Novembre 2020, quelles sont vos missions au quotidien ? 

Je challenge et je coordonne l’ensemble des besoins des différentes directions métier pour faire évoluer la cartographie applicative via le pilotage d’un portefeuille de projets. Je le fais en m’appuyant sur une équipe de chefs de projet, de développeurs et sur des ressources expertes du groupe. Au quotidien, je suis aussi amené à piloter le plan de gestion de l’obsolescence de ma cartographie applicative. Je construits également mes budgets de projets en projets et d’année en année, en vue des étapes de validation et de contrôle par la direction financière. Je m’assure aussi de la maîtrise des dépenses Labor et non Labor autour des projets, mais aussi de l’ensemble de l’IT de la filiale. J’interviens face aux clients dans les phases d’avant-vente et d’appel d’offre en amont des projets afin de préparer la mise en œuvre via l’intégration dans le portefeuille projet. 

Je m’occupe également des problématiques opérationnelles du quotidien de la filiale : les situations de crises, les escalades de la direction, le suivi des SLA et les plans de progrès etc. Dans ces situations, c’est l’Engagement Manager qui est en première ligne pour à la fois garantir la qualité des services IT fournie à la filiale ainsi qu’à ses clients, et à la fois garantir que les stratégies du groupe sont bien prises en compte dans l’IT de la filiale. Et lorsque je suis dans des comités régionaux, je suis parfois appelé pour aller dépanner un site : il faut donc être réactif dans ces cas-là. 

En plus de ces missions, je contribue à l’amélioration continue dans les équipes informatiques de la maison-mère et je prépare les chantiers informatiques pour la création de la future filiale du Groupe. 

Comment s’est passée votre intégration dans le contexte de cette année particulière ? 

En considérant que cela fait huit ans que je suis en télétravail, cela ne m’a pas dérangé de faire les entretiens en visio par exemple. Par contre, je considérais qu’il était important de voir le lieu où j’allais travailler.  

Pour le reste, tout est allé très vite : le processus avait commencé mi-juin, et fin juillet, malgré le gel des embauches à cause du COVID du côté de la Société Mère, j’ai été embauché. 

En arrivant dans la sociétéma problématique était de ne pas pouvoir être constamment présent auprès de tout le monde pour monter en compétences. Je suis donc arrivé le premier jour pour récupérer mon PC et mon téléphone pour télétravailler.  

J’ai eu la chance d’être accompagné par l’ancien Engagement Manager qui m’a consacré un maximum de temps et m’a emmené avec lui sur tous les sujets en m’expliquant et en me présentant aux différents interlocuteurs. Ce qu’il a instauré pendant ces années était réglé au millimètre et il avait déjà préparé ce transfert, qui était donc idéal. Ça a vraiment facilité mon intégration malgré le contexte de la période. 

Comment avez-vous vécu le processus de recrutement aux côtés de Kalyptus ? 

Je n’avais pas prévu de changer de poste dans l’immédiatc’était donc plutôt précipité pour ma part, parce qu’il y avait des exigences du côté de l’employeur, le retard qui a été pris à cause du COVID et le remplacement de l’ancien Engagement Manager.  

Mais si je me place dans la situation d’une personne en recherche d’emploi par exemple, c’est assez confortable parce qu’Audrey était aux aguets quant au suivi du processus : systématiquement quand elle avait une information comme “j’ai un point demain de 14h à 15h sur le poste avec le client”, à 15h30 elle m’appelait pour débriefer.  

Ce que je retiens, c’était vraiment comme un match gagné en équipe, Audrey était proche de moi. J’étais parfaitement accompagné et toutes mes craintes, Audrey a réussi à les dissiper. Elle me donnait tous les éléments qu’il fallait ; c’était sain, très serein. 

Un mot pour la fin ?  

Cette démarche de retour d’expérience est plaisante aussi parce que le processus de mon recrutement s’est passé tellement rapidement et efficacement ! C’était vraiment avec joie que de faire cette introspection aujourd’hui, car pour moi, cela été complètement positif avec Kalyptus. L’accompagnement et le coaching que j’ai trouvé sont vraiment uniques et j’ai plaisir à partager mon expérience auprès de mes proches. 

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